lundi 11 avril 2011

Côte d'Ivoire: une victoire ou la raison

La situation de la Côte d'Ivoire qui s'impose à nous, offre la possibilité de la reprise des activités, si le camp Gbagbo , se defendant d'être le garant de la souveraineté du pays, accepte de prouver son amour pour sa patrie.
Lui-même , historien, ne devra-t'il pas se souvenir que toute grande nation, ou tout père de grande nation, à dû à un moment , le moment le plus crucial de sa vie, choisir la capitulation, l'abdication , au prix de nombreux intérêts ?
Le grand Japon , face à l'histoire, à choisi par son empereur , l'abdication , contre l'avis de la majorité de son peuple et de ses généraux .Le futur ne fut plus que grand et fort.
L'Allemagne, de Hitler, a choisi contre son gré (celui de ses chefs), de reconnaître sa défaite , pour sauver son peuple.Aujourd'hui, l'histoire nous instruit sur sa force économique et la force mentale de son peuple.
Gbagbo est amoureux de son peuple, se sent investi d'une mission"divine" pour la Côte d'Ivoire.
Cette Côte d'Ivoire marque un arrêt douloureux dans son histoire:
sanction économique, fermeture des banques, ambargo sur les ports, donc arrêt de l'activité économique.
La preuve de cet amour se manifeste à lui, Gbagbo, le pays attend un "miracle" de ta part :je m'incline, preuve de force mentale , d'honneur, de bravoure.
Gbagbo, "dit un mot et la Côte d'Ivoire sera guéri ", voila le vrai miracle promis .