dimanche 28 décembre 2008

GHANA: Quand l'exemple vient d'à côté


L'actualité de ce dimanche sur ce pays, c'est qu'il s'y ait déroulé le second tour des élections présidentielles.C'est tout simplement exemplaire pour une Afrique, où le pouvoir ne se conçoit que pour y rester , comme une puce dans les poils d'un animal, ne s'en aller que par la force ou y mourir.

Le Président en exercice, comme son prédécesseur , en véritable patriote , et sans faire comme nombre de leur compères, passe la main .Cela, je fais le rêve de le voir en Côte d'Ivoire et dans beaucoup d'autres pays.
En plus du cacao-café, de l'or, autre richesse ,il y a le pétrole.
Au GHANA, l'on sait que ce n'est pas la propriété de celui qui est au pouvoir, ce qui fait qu'il voudra rester, allant jusqu'à soutenir les thèses de mandat perturbé ou autre coup d'état.
L'exemple que nous donne dépuis de nombreuses années ce pays, devrait nous servir de base, pour les nombreux APO( Accord Politique de Ouagadougou) et autre.S'il faudra copier, c'est là que nos politiques et multitudes " conseillers" devraient.
Il y a un peu trop de "patriotes" en Côte d'Ivoire, qui ne le sont que pour leur poche.J'entends souvent dire: j'ai lutté, faites comme moi.
Aussi simpliste que celà puisse paraître , ces propos nous viennent de dirigeants;
Oui , de" patrie-ôte",c'est peut être ce qu'on voulait nous faire comprendre, ôter la patrie.

vendredi 26 décembre 2008

Guinée: cela se passe à ma fenêtre

Paix à son âme et que DIEU est pitié pour tout ce qui l'aurait pu faire comme mal.
Lansana Conté part et après l'on voudrait nous parler de constitution. Cette constitution, ne demande t'elle pas , que l'on puisse constater l'incapacité à gouverner pour un président, car malade.
Le capitaine Camara et ses camarades ont pris leur responsabilité , afin de réorganiser la vie en Guinée tout simplement .Car c'est la vie politique, sociale , économique, qui est à réorganiser.
Maintenant, auront-ils assez de discernement, pour comprendre la profondeur des espoirs que la population place en eux, et s'éloigner des envies des pouvoirs à l'Africaine, pour la majorité, refuser le poison qu'est le pouvoir pour mon ethnie, "je suis venu pour essuyer vos larmes", refuser de susciter les vengeances .
Due DIEU les guide 
lire sur le même sujet , chez Théophile KOUAMOUO

mercredi 24 décembre 2008

C'est noel

Chers bloggueur , qu'as tu fais de ton noel....Moi, je suis heureux d'avoir du souffle 

mardi 16 décembre 2008

y a t'il quelqu'un pour nous sauver de la noyade de la SODECI

La note est salée, plus salée que l'eau de mer. Oui, que peut faire le contribuable en Côte d'Ivoire. Après l'ascension vertigineuse du prix des produits de première nécessité, c'est le prix de l'eau à la pompe qui emprunte la fusée. A la lecture de nos factures, rien de parlant, si ce n'est que le net à payer qui à triplé voir quadruplé .Que se passe t'il en Côte d'Ivoire. Nos gouvernants, s'il en existe encore, sont tombé sur la tête.
Après nous avoir roué de coups partout, ils nous prennent par la gorge pour nous pousser à la réaction.

lundi 15 décembre 2008

Opération conjointe contre les rebelles de la LRA dans l'est de la RDC




Les armées ougandaise, congolaise et du Sud-Soudan ont lancé dimanche une offensive conjointe contre la LRA, attaquant la principale base du chef du mouvement rebelle, Joseph Kony, située dans le Parc national de la Garamba, à l'extrémité nord-est de la République démocratique du Congo.
Ces types d'intervention, si cela était confirmé, serait pour nous une solution à entrevoir pour les atrocités à l'est de la République Démocratique du Congo.

mercredi 10 décembre 2008

le Requiem d'un grand homme par Olivier N'DA

Aujourd'hui je pleure la disparition d'un ami bien aimé. Il y a quelques années il régissait nos réactions, nos pensées, nos joies et nos peines. Je pleure aujourd’hui le départ du «bon sens». Le «bon sens» a été avec nous pendant de nombreuses années et personne ne sait pour sûr quel âge il avait. Les documents relatifs à sa naissance ont été perdus depuis bien longtemps par nos chers services administratifs.

On se rappellera de lui comme la raison sans raison et comme le premier à avoir cultivé des leçons de vie valables telles que ne pas sortir sous la pluie sans parapluie, la guerre ne résout rien, un pays corrompu ne peut se développer, le respect de la loi est prémices à tout développement. Il nous a aussi permit de comprendre que la vie n'est pas toujours juste et peut-être que c’est aussi de nos propres fautes. Le «bon sens» accompagnait de principe simple les politiques financières ; ne dépensez pas plus que vous ne gagnez, il accompagnait les rôles des acteurs familiaux en indiquant en tout logique que les parents étaient en charge et pas les enfants.
Sa santé a commencé à se détériorer rapidement quand de bien intentionnées lois et règlements plus ou moins étranges ont commencé à se mettre en place par une société de moins en moins inspirée par mon ami.
On a été alors surpris de voir des garçons de 6 ans poursuivis pour harcèlement pour avoir embrassé des copines de classe, des adolescents suspendues du lycée pour usage de bain bouche après leur déjeuner à la cantine, des professeurs renvoyés pour avoir réprimandé des étudiants indisciplinés, des policiers défendus après avoir battu d’honnêtes citoyens , des pères de familles jugés pour avoir défendu leur propre maison contre des cambrioleurs qui les ont ensuite poursuivi en justice pour assaut. Le «bon sens» a été traumatisé par l’arrivée de ces textes « modernes» totalement dépourvus de «bon sens».

Au cours de sa maladie comme dans un sursaut d’orgueil, il a essayé de relever la tête mais a été tout de suite attaqué et assommé quand des parents d’élèves ont agressé des professeurs pour avoir fait le travail qu’eux–mêmes n’ont pas fait en ne disciplinant pas leur enfants rebelles. Bien plus encore on lui a craché dessus en exigeant d’obtenir le consentement parental pour administrer du paracétamol, de la crème pour le corps ou des plâtres à des étudiants malades; et en refusant d’informer les parents quand leurs étudiantes de filles tombent enceintes.

Totalement anéanti le « bon sens » a complètement perdu envie de vivre quand les Dix commandements sont devenus contrebandes, les églises des entreprises criminelles, les mosquées des centres de formation militaires, quand les criminels ont commencé à recevoir des traitements meilleurs que ceux appliqués à leurs victimes et surtout quand cette bonne dame ne se rendant pas compte de la température de sa tasse café bouillant se renversa quelques gouttes sur la jupe et qui s’est vu promptement attribué un chèque énorme en signe de compensation.

Quelques années avant sa disparition, « Le bon sens » a été précédé dans la mort par la perte des ses parents « vérité » et « confiance », de son épouse «discrétion », de sa fille « responsabilité » et de son fils «raison ». Il faut dire qu’il n’a pas survécu à l’excès de ses trois beaux-frères : « Je connais mes droits », « c’est la faute de quelqu’un d'autre (aussi connu sous le nom de « c’est pas moi c’est les autres »)» et « je suis une victime ».

Ses funérailles étaient tristes et il y avait peu de monde parce que seule une poignée de personne a réalisé qu'il s’en était allé. Si vous vous souvenez toujours de lui, soyez gentils : parler des ses valeurs à vos amis, vos enfants surtout ne vous joignez pas à cette majorité qui veut tout oublier de lui.

Par Olivier N’da

jeudi 4 décembre 2008

Côted'Ivoire: Processus de paix et élection...pourquoi esperer?

Depuis quelques jours, nos médias s'animent, avec nos politiques. Des sorties que l'on qualifierait de peu rassurantes pour l'avenir. lire:
4-le PPS(Parti pour le Progrès et le Socialisme) 
Après un semblant d'acquiescement du discours de nos "leaders", lors de leur dernière réunion dînatoire à Ouagadougou, les esprits se réveillent. Car la réalité économique de la Côte d'ivoire ,est si défavorable pour la population, que se taire aussi longtemps conduirait à une asphyxie. Mourir sans se débattre, cela peut arriver, mais rarement.
C'est cette possibilité de pouvoir réagir, qui est en tout un chacun, qui me fait croire et dire, que l'espoir est permis. Cette Côte d'Ivoire, la vraie, saura réagir, et là pour une bonne et sérieuse raison et non la seule envie d'être riche en banque. Il y aura sûrement, des personnes pour faire de la politique et non la politique, le dernier étant nuisible pour le plus grand nombre.
C'est une réelle plaie pour l'Afrique, ne pas savoir orienter le développement, mais cela arrivera , forcement.

lundi 1 décembre 2008

Côted'Ivoire:Comment un peuple aime à se voir mourir

Profitant de cette conférence du Président Wodié, je reviens sur cet Accord de Ouagadougou (capitale politique du Burkina Faso) et ses nombreuses concertations qui ont suivi, dont les résultats nous font penser, nous autres en Côte d'Ivoire qui pensons que la paix il la faut, qu'il y a un arrangement entre des camps pour jouir des fruits de ce pays.
Sinon, tous disent aimer la Côte d'Ivoire, tous prétendent offrir la croissance économique , le bonheur des populations....ce que je vois et constate, je ne suis pas l seul, c'est le pouvoir et se montrer incapable à produire le moindre épanouissement pour ce pays.
Nous avons , car tous coupable, au soir du décès de l'HOMME(Félix H Boigny), appélé avec toute la force que cela pouvait comporter, la guerre.La paix , les pensées de paix , la vie en commun pour un mieux être , avaient disparu de nos médias , de tous les médias du pays.La pensée la mieux partagée, c'était "pousse toi que je m'y mette".
1-de 1993 à 1999, la question d'Alassane Dramane OUATTARA et nationalité ou-et, des journaux dédiés à cet effet.
2-de 1999 à 2000, on prend plaisir à faire ce que l'ivoirien sait le mieux faire, ne rien régler.
3-2002...pour beaucoup , un espoir, mais très vite le pouvoir, lui fait oublier le vrai sens de son mandat.Monsieur veut continuer dans les ou-et sur Alassane, oubliant que le pays doit vivre se servant des erreurs d'un passé récent.
4-les voyeurs des dos des nageurs, ont oublié que le ventre n'était toujours pas bien visible , et j'ose croire qu'ils se font surprendre par une rébellion , qui au fait va leurs profiter aussi.
Toute cette histoire n'est qu'un rappel, car connu et interprétée selon nos positions,les faits sont .
Le Président Wodié, en maître du droit, nous signale et cela depuis longtemps, les dangers à venir. Comme toujours , personne , je veux dire autorité, ne semble écouter. Après on se la joue surpris. Vraiment surpris?
Je pense que si les leaders veulent goûter les douces pintades du Burkina Faso, qu'ils en fassent la demande au Président du Faso qui se fera le plaisir d'en offrir gracieusement à leurs tables. Mais y aller à dépenser l'argent du contribuable et revenir pour dire ça va...lol