samedi 30 août 2008

Côte d'Ivoire et politique:copie du billet de Tiburce koffi

Si j'étais président (en 1110 mots)


Le dire ou… périr. Si j’étais président, je commencerais par le commencement : m’entourer de gens qui satisferaient à quatre exigences majeures : la compétence, la performance — ce ne sont pas les mêmes choses — la droiture morale, l’aptitude au renoncement. Renoncement aux vanités de ce monde : le luxe, l’argent facile et non mérité, les maisons coûteuses et aux prix de construction hors de la bourse d’un fonctionnaire de l’Etat (fût-il haut fonctionnaire), les cylindrées à fesses-que-veux-tu ?
Ces quatre exigences me permettront de composer un gouvernement sélectif, fait des meilleurs (dans leurs domaines respectifs) que notre société aura produits dans les secteurs essentiels d’activités qui déterminent la vie d’une nation. Les voici, dans l’ordre des urgences et valeurs que j’aurais déterminées :
La Culture et l’Education nationales
La Défense et la Sécurité
L’Economie et les Finances
L’Environnement, l’Urbanisation et la Construction
La Santé
L’Agriculture et la Paysannerie
L’Industrie, le Commerce et la Condition ouvrière
La Justice, l’Ethique, la condition de la Femme
Le Travail et l’Enseignement professionnel
la Science et la technologie
La Communication et l’Information
Le Sport, les Loisirs et la Qualité de la vie.

Ce sera donc un gouvernement de 12 ministres. Les 12 hommes les plus méritants, les plus performants, les plus productifs, les plus exemplaires d’entre la population de plus de 18 millions que nous sommes actuellement. Ils seront au nombre de 12… comme les tribus antiques d’Israël ; douze, comme les apôtres du Christ. Comme eux, ils seront les hommes du renoncement et du risque ; le risque de tracer une voie nouvelle, le risque aussi d’être incompris ; mais le risque, surtout, de montrer un chemin autre que celui, large et vulgaire promu par les chefs nuls, brouillons, nègres, bavards et rigolards qui ont détruit ce pays naguère promesse dans l’océan des désespérances que donne à voir ce continent. Ils seront 12. Rien que 12 ; mais 12 volontaires. Mieux que Stakhanov, ils seront des samouraïs de la tâche, des gens de l’honneur suprême : aptes et prêts au suicide, en cas d’échec ! Bref, ils seront l’élite ; et comme tels, ils seront des modèles, des icônes pour des générations…

Douze, 12 ministres, afin de réduire le train de vie de l’Etat. Douze, pour gagner en efficacité ; 12, afin de montrer aux nègres que les gouvernements de 30, 50, 40 ou 75 ministres sont inutilement lourds, dispendieux, protocolaires et improductifs ; pis, ce sont des rendez-vous de prédateurs… comme ces rebelles aux joues devenues grasses, ces mauvais étudiants guévaristes en costumes et cravates qui roulent dans les cylindrées noires climatisées, dorment dans des palaces, bénéficient d’une garde de sécurité impressionnante, ont des budgets de souveraineté, des salaires, dirigent des gouvernements légaux tout en continuant d’occuper illégalement une grande partie du territoire national avec leurs filous ! Une autre histoire de nègres ! Mais qui, qui donc pourrait nous débarrasser de toute cette racaille ?...

Ah, si j’étais président ! Je mettrais au travail toute cette jeunesse infectée de zouglou anharmonique, de coupé décalé bruyant ; cette jeunesse amante des trottoirs désolés ; ces bras oisifs, toute cette énergie vagabonde, tout ce gaspillage inacceptable et incompréhensible de notre réservoir de rêves et d’espoirs ruinés par des politiques de dirigeants truands qui ont tronqué l’idéal d’hier contre la satisfaction égoïste de règnes autocentrés — roi anachronique terrorisant un peuple de sujets sans défenseur ! Bon dieu, où, mais où donc est l’opposition dans ce pays ? Dans les journaux. Rien que les journaux ! Déclarations farfelues ! Culte de la personnalité ! Des sondages bidons ! Quelques meetings de temps à autre (pour se rappeler qu’ils sont dans l’opposition !) et se donner l’illusion d’être encore une voix (e) qui compte. Et la rue ? Elle est occupée par le roi, ses barbouzes, ses sbires : la rue, c’est sa culture de base ; alors, il la politise à outrance et fait une politique de rue et de la rue ! N’importe quoi !...

Si j’étais président ! Je suspendrais le mandat de tout maire dont le quartier serait sale, mal organisé, bruyant, mal géré, mal éclairé et en nommerait d’autorité un autre avec des impératifs et un échéancier précis. Si j’étais président, j’interdirais, conformément aux dispositions constitutionnelles, toute propagande religieuse sur les antennes de la télévision de l’Etat laïc que je suis chargé d’administrer. Si j’étais président, je ferais interdire l’accès des médias d’Etat à tout pasteur qui promettrait des miracles au peuple ; parce que le seul miracle dont nous avons besoin, c’est la reconversion de mon peuple aux vertus de l’effort, du travail, de la confiance en soi.
Si j’étais président, je demanderais à tout policier de rédiger un dossier de cinq pages manuscrites (sans ratures) sur tout véhicule qu’il aurait arrêté pour contrôle ; ces pages devront être cosignées par le conducteur ; j’exigerais de même de chaque policier, un rapport de dix pages (toujours manuscrites et sans ratures) sur toute personne à qui il aurait demandé les papiers d’identité, alors que rien ne justifiait ce contrôle. Si j’étais président, je suspendrais le mandat de tout maire qui laisserait des policiers mettre des pneus sur les voies publiques, afin d’empêcher la fluidité routière. Le commissaire du secteur incriminé serait suspendu de six mois de salaire avec comme punition, assurer la garde de nuit, les jours de pluie, à l’entrée de l’hôpital psychiatrique de Bingerville ! Pendant 19 mois...

Si j’étais président, je serais le premier à faire les sacrifices lorsque les Américains et les Arabes s’amuseraient à provoquer une crise du pétrole qui accentuerait les difficultés de mon peuple. Si j’étais président, je ne chercherais pas à tricher pour me maintenir au pouvoir, ni à diviser l’opposition pour montrer mes capacités de nuisance et faire honneur à ma (sale) réputation de monstre politique. Si j’étais président, j’aurais eu honte d’avoir signé un mandat infernal, un mandat souillé par le sang, les scandales financiers, le non respect de l’éthique…
Si j’étais président d’un pays comme cette Côte d’Ivoire que j’ai conduite au désastre en détruisant sa jeunesse scolaire et estudiantine, et en souillant la conscience des adultes par l’argent de la corruption qu’est mon impressionnant budget de souveraineté… eh bien, si j’étais ce président-là, j’annoncerais superbement ma démission de l’Exécutif, ou bien je disparaîtrais dans un honorable suicide !
Le dire ou… périr : notre constitution devrait songer à prendre en compte, le suicide du Président de la République en cas d’échec dûment constaté par les (véritablement) libres penseurs du pays. Cela éviterait les coups d’Etat, les rebellions et rebelles stupides et inconséquents… comme les nôtres.

Côte d'Ivoire et information: Image d'un pays par les médias d'état

Je commence mon billet par ce constat, toute la Côte d’ivoire abonnée à la Compagnie Ivoirienne d’Electricité, paye une redevance pour la télévision et la radio dite nationale , la même, qui vous soyez à Abidjan (là où s’arrête la vraie Côte d’Ivoire) ou dans le reste ( les autres villes).
Dépuis de nombreuses années, les différents ‘’ gouvernements’’ ont mis sur pied une deuxième chaîne de télévision et de radio , pour Abidjan.
Les seules chaînes de radio et de télévision (une chacune) ont du mal à couvrir le territoire (322640 km²). Avec l’Internet, impossible de suivre par cette voie ces chaînes. Partant de ce constat, les autorités veulent nous parler de présence médiatique de la Côte d’Ivoire, et dire que cela ne relève que d’une simple volonté des « politiques ».
Après avoir traité la France de tous les mots, nous n’arrivons même pas à nous y affranchir ;
Mais , si pour être présent au niveau planétaire, vous vous confiez à votre supposé ‘’ennemi’’ , comment voulez-vous réussir. Ne dit-on pas que la main qui reçoit est toujours en dessous de celle qui donne ?Alors , tournons sept fois notre langue avant de ….
Pour revenir à mon histoire de télévision, je viens pour me plaindre, car j’ai fait un autre constat et j’espère être dans le faut, le journal télévisé du jeudi soir , le 20 heures, présenté par le directeur de la télévision, Brou Amessan , est strictement réservé au FPI (Front Populaire Ivoirien) ou à ceux qui en disent que du bien. J’ai même fait un jeu de pari avec des amis,mais malheureusement j’en suis gagnant.
Aujourd’hui , les toits de nos maisons sont décorées d’antennes paraboliques, prouvant le besoin à l’information, car très vite , la télévision nationale vous ennuie , si ce n’est pas vous fait désapprendre. Il m’arrive de me poser la question de savoir, si l’on considère que ce type de média est la vitrine d’un pays et comment sont recrutés les journalistes et autres présentateurs. La qualité , à en juger au temps des , Ben SOUMAHORO, Eugene KAKOU, Georges BENSON…,pardon à ceux que je ne citerai pas et qui appartiennent à cette époque, c’est , excusez-moi,dans le médiocre que nous nous installons . La télévision ivoirienne , s’installe dans l’affairisme et les « deals » en tout genre, il faut payer , par la voie illégale , c’est vrai que la Côte d’Ivoire vit dans cette ambiance , pour passer .
Très vite, que le sommet s’y penche, surtout sur le recrutement , pour redonner à cette télévision une meilleure image, cela participe au développement d’un pays.

mercredi 27 août 2008

Côte d'Ivoire et défense: Quand un chef d'état majour s'explique

Que devient la grande muette?
Quand à son plus haut sommet, se tiennent des points de presse, pour se justifier sur dit-on des "rumeurs".
Mais enfin,mon GENERAL, vous êtes général ou pas?N'y a t'il pas de porte parole au sein de notre illustre armée, pour que ce soit vous-même qui réunissiez les différents chefs de corps, pour donner des explications sur des "rumeurs".
Vous avez lancez à coup de trompette , l'opération anti-racket qui est partiellement suivie .Mais ce que vous ignorez peut être , c'est que , lorsqu'un officier se rend dans une ville, il est réçu par les agents en place, sur fonds propres; d'où tirent-ils ces fonds?Ces officiers sont heureux après cela et ils prennent des grades, c'est normal, nous sommes en côte d'ivoire, nous sommes en Afrique .Arretez de toujours pensez complots quand les soldats demandent un peu de considération; car le complot c'est vous et les autres officiers "supérieurs" qui le faite , de par votre façon de vous "produire" comme on le dit à YOP.
REDEVENEZ LA GRANDE MUETTE, disparaissez un peu des médias pour être plus présents dans les casernes, cela relève de la sécurité de notre PAYS.

Côte d'Ivoire et société: abandon

Et si la jeunesse de notre pays, n’était plus que le reflet de l’impuissance incarnée face à la recherche du mieux être.
Pour cause, partout, sur des voitures , des murs et même une animatrice (émission variétoscope) de la seule chaîne de télévision qui devrait couvrir le territoire, en a fait son crie de guerre : « ça va aller, c’est DIEU qui est fort ».
Quel sentiment d’abandon, car quand on arrive à cela, c’est qu’on est incapable de mettre en branle son esprit créateur, même si cela est devenu une denrée rare de nos jours en Eburnie (Côte d’Ivoire).
C’est DIEU qui est fort, mais que faisons-nous du « aide toi et le ciel (DIEU) t’aidera ».
La crise sociopolitique que nous avons tant souhaité et obtenu, a le dos large.
Un groupe d’individus, tant du camp gouvernemental que de l’ex-rébellion, a tiré bénéfice et pas des moindres de cette situation .Grosses voitures polluantes, roulant sur des routes défoncées, grosses villas , racket en tout genre…etc.
Du côté de la population, ne soulève aucun débat faisant obligation d’utiliser la tête , tu t’entends répondre « comment on va faire ? », la démission.
Dans un tel nuage, de pollutions, comment construire nos ETATS , déjà absents du développement .
Nous avons-nous, foi en une grande partie de notre jeunesse , qui depuis quelques mois , commence à comprendre que l’ennemi , c’est nous même et notre absence de réflexion. Elle est de plus en plus absente aux rassemblements propagandistes , d’où on sort plus abrutis qu’un « moutons » perdu dans la bergerie .

vendredi 22 août 2008

Côte d'Ivoire : FDS, manquements graves et coupabbles

Voici que l'histoire recommence;
Encore , que nous veut ce hilaire, me diront ceux qui réfusent de lire à travers les évènements.
Les vols constatés dans les différentes armureries sont sous-estimés par les officiers supérieurs, c'est grave, c'est coupable.
Souvenez vous l'an 2002:
-des agents de la douane tués par des éléments "non identifiés"
-un avion de chasse poursuit une mercedes noire en pleine savane et la perd de vue,
-avant son départ pour Rôme, le Président Gbagbo qui clame dans les médias: il n'y aura jamais de coup d'état dans ce pays....
Souvenons nous, officiers supérieurs coupables .
Président , chef des armés, des sanctions exemplaires , des têtes doivent tomber pour que des citoyens ne soient plus tués pour que ces officiers ,incompétents, ne récoivent des grades de la honte.

mardi 19 août 2008

Côte d'Ivoire et société: les déchets toxiques, deux années déja

C'est formidable d'être gouverné par l'inconscience .Pour ceux qui voudraient ,que l'on s'abstienne de parler des malversations de gouvernant africain, je m’excuse d’heurter leur sensibilité.

Mais comment pouvons nous nous taire, quand des africains , ivoiriens , acceptent d’empoisonner leur peuple et , avec l’aval de leur gouvernement , doivent rester impuni et jouissent de l’argent sale qu’ils ont pu en tirer. Être complice d’une sorte de génocide, excusez moi , mais pensez chaque fois que vous penserez Côte d’Ivoire et que vous êtes ivoiriens, que des gens ont empoisonné la terre ivoire et se la coule douce.lire

une vidéo

lundi 18 août 2008

Afrique et développement: La SADC lance une zone de libre échange


Dans la rubrique l'Afrique dans le développement économique, cette idée menée par le Président MBEKI, fera d'une zone un vaste marché.Nous pensons que l'idée d'une grande union africaine doit partir de ces actions bien consolidées et ensuite , conduire vers un grand marché, fort .Nos autres pays d'Afrique , hors SADC , devrons savoir mener nos actions de coopération ,afin de créer une force économique Africaine.Si la Chine fait peur au monde occidental, c'est aussi grace à son marché intérieur et à son évolution technologique .
Nous avons choisi quelques articles pour argumenter notre réflexion:
Premier
Deuxième....Troisième

Coup d'état en Mauritanie:vers l'acceptation

Un nouveau premier ministre nommé,les "oui-mais" de la communauté internationale, enfin la situation en restera à cela .S'il faudra organiser des élections puis après l'armée fait un putsch et on refait des élections....OK!

mercredi 13 août 2008

la téléphonie cellulaire dans le sud-bandama(Côte d'Ivoire)

Dans cette vidéo, réalisée par nos soins, vous lisez ce que disent 76,05% des personnes interrogées (1028 en tout) de Avril 2008 au 10 Août 2008 dans le sud bandama(Divo, lakota, hiré, hermakono garo,didoko et guitry).

Côte d'Ivoire et société:la population asphyxiée

Nous avions en son temps, émis nos réserves quant à la capacité de notre gouvernement à faire appliquer les mesures qui devraient accompagner la hausse du prix du carburant et autres produits .Nombreux nous ont pris pour des "Ivoiro-pessimistes", des personnes voulant tuer la Côte d'Ivoire, notre patrie à tous.
A ce jour, je vous invite à faire un tour sur les différents marchés;
Les prix des denrées alimentaires ont connu une hausse vertigineuse, le ciment et autres sont hors de prix, le racket dans nos villes a reprit avec une forme digne d'une recette de sorcière.
Voyez-vous, nous avons malheureusement , des gouvernants incapables, en plus notre gouvernement s'offre des vacances pour mieux nous signifier que le devoir de la mise à mort de la population a été accompli avec succès;
BRAVO, pauvres Ivoiriens...la mort continue

samedi 9 août 2008

Affaire jean louis BILLON et DST


Mais que veut-on à Jean-louis BILLON ?
C'est sous Laurent Koudou GBAGBO et SORO Guillaume que la DST va interroger des gens pour dit-on instigation à la grève.
Si cela arrive c'est que les causes sont réunies.
Quand on crie sur tous les toits que l'on va gouverner autrement, et que la population est affamée, que voulez-vous en espérer?
Quittons cette époque d'avant 1960 et allons vers la PAIX et les élections pour que les "bruits de bottes "disparaissent.

vendredi 8 août 2008

Pauvre AFRIQUE et encore

Au pays des Maures, que se passe t'il?
Encore des idées de coup d'état.C'est le paradoxe .Mr fait un coup d'état pour renverser un Président issu des urnes et promet des élections libres et transparentes : BRAVO.
Ce coup d'état de trop pour quoi, pour qui ?
C'est l'Occident qui a commandité cela j'en suis convaincu, c'est la France qui a pris le pouvoir en Mauritanie?
Africain un peu au dessus nous devons être!!!lire d'autres commentaires sur ce coup d'état

jeudi 7 août 2008

Côte d'Ivoire : 48 ans à Divo

Les 48 années de l'indépendance de la Côte d'Ivoire ont connu une animation particulière à Divo,dans le Sud-Bandama.Nous y étions.

mardi 5 août 2008

Fête nationale en CÔTE D'IVOIRE:48 ans

Ce jeudi 07 Août 2008, toute la CÔTE D’IVOIRE fête ses 48 années de son accession à la souveraineté nationale , la journée sera belle , nous en sommes bien convaincu.
Mais que devons nous retenir ?
C’est le 30 novembre 2008 que doivent se dérouler les élections pour un autre mandat de présidence .
Nous devons instaurer une paix réelle
Nous devons , surtout , retenir qu’il y a eu une rébellion pour RIEN , sinon que remplir les poches d’une partie des habitants du pays , et cela en piétinant les cadavres de toute une jeunesse.
Enfin, que nous devons nous inscrire dans une politique de développement et non de toujours danser et jouir de la fraude.

lundi 4 août 2008

Radio Côte d'Ivoire:Maurice Yao KONAN

Ce matin , encore , mon cher Maurice Yao KONAN, me fait la preuve , de l'incompétence de la majorité de nos journalistes.
Utiliser le canal de la seule chaîne de radio de la "grande Côte d'Ivoire "pour s'attaquer à Roger MENARD et à l'Occident , me laisse dans une déception.
Concernant l'accès à l'internet, pour que l'on parle de blocage , c'est parce que eux au moins ont fait l'éssai.Quand chez nous les journalistes se servent des discours de "maquis"pour en faire des articles, eux ils fouillent dans les médias, comparent et enfin portent cela aux yeux du monde.Quand on connait un peu comment un pays peut influencer un FAI( fournisseur d'accès à internet) par une restriction dans son cahier de charge, l'explication de la démarche des occidentaux est bien comprise.Pourquoi le CIO est-il intervenu auprès des autorités chinoises pour lever les interdictions?Pensez-vous que cette démarche n'est que politique?Soyons un peu en dehors des discours de nos politiques africains qui pensent que l'occident ne fera que des dons .RETENONS que entre pays , ce sont des RELATIONS d'INTERET.