dimanche 1 novembre 2009

Les Vérités de Gbagbo aux Cadres du FPI : «Si je perds le pouvoir, vous perdrez vos fortunes…»


Je me suis posé cette grande question, à la lecture de ce titre sur abidjan.net:

Gbagbo ferait-il l'aveu que les cadres du FPI ont acquis des fortune par le fait qu'il soit Président de notre République, et non par leur propre travail?

9 commentaires:

mohamed billy a dit…

Autrement dit: "tant que je serai au pouvoir, vos fortunes seront sauvegarder."
A bon entendeur... et comprenne qui pourra.y a pas message plus clair que ces paroles venant de la bouche d'un président de la république candidat à sa propre succession.
Les élécteurs auront compris le message.j'espère

hiler a dit…

Oui, mais à côté de cela, c'est un appel à tout faire pour que je reste président.Là c'est la porte ouverte à des dérives malheureusement.Mais je pense tout de même que c'est peu sérieux de la part du président , car il le constatait depuis longtemps et un fois il a même cherché à justifier l'enrichissement galopant des siens , en demandant qu'on les laisse en paix.

Mohamed Billy a dit…

Justement,un appel à tout à faire pour qu'il reste président sous fond de menace.

hiler a dit…

Lamentable pour l'opposant historique sous Houphouet et Bédié.Pour en arriver à ça, il faut être en dignité africaine.

Obambé a dit…

Devinette: quels sont les protagonistes de ce drôle de dialogue?
- Maintenant, nous allons partager le gâteau ;
- Le pouvoir n’est pas un gâteau à partager.

Bon, ce ne sont pas termes exacts, mais l'esprit est là.
Indice: Cela s'est déroulé en janvier 2000 (si mes souvenirs sont bons) dans un pays de l'Ouest africain.
Obambé

democrateafricain a dit…

De pareils mots si tenus sont certes embrassants. Cependant, quelles preuves avons nous que ses mots ont-été vvritablement prononcés? Ou bien est-ce une histoire de "On dit"? J'ai lut plutot perdre des postes et non des fortunes...
Dans tous les cas esperons que de tels paroles n'ont pas été prononcées.

hiler a dit…

Cliquez sur le titre de mon billet, cela vous ramène aux conditions dans lesquelles ces paroles ont été prononcées.
Malheureusement , ces paroles sont souvent pensées et ténues par nos hommes d'états.

Obambé a dit…

Allez, la réponse: C'était feu R. GUEÎ et L.K.GBAGBO (d'après Jeune Afrique), aux lendemains du putsch de décembre 1999.

Entre l'opposition et le pouvoir, qu'est ce que certains hommes peuvent changer...

O.G.

Anonyme a dit…

Salut à tous, Hilaire j'espère que tu vas bien !
Pour moi, c'est SANS COMMENTAIRES, le sujet parle de lui même, avons nous à l'expliquer encore ?

Bonne journée